Comment faire une donation de son vivant ?

2028

Bénéficiant de nouvelles subventions, les dons vous permettent de combiner transmission de richesse, aide familiale et optimisation immobilière. Explications.

Les dons sont généralement considérés comme aidant les jeunes générations. L’objectif est de transférer ses actifs suffisamment à l’avance pour tenir compte de l’allongement de leur durée de vie, ce qui retarde encore le transfert de biens par décès

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Les jeunes générations peuvent avoir besoin d’une aide financière pour faire leurs investissements. L’impact des dons est également favorable à l’économie. Contrairement à l’assurance-vie, elle vous permet de transmettre tout au long de votre vie. Les bénéficiaires perçoivent immédiatement les marchandises ou les sommes fournies.

Les dons sont également un moyen de préparer votre patrimoine et de réduire les impôts.

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comment utiliser correctement le don ?

Le don est l’outil légal pour transférer gratuitement une partie de vos biens (biens ou droits) dans une vie à une autre personne.

Un don doit être fait avec une attention particulière, car le donateur ne peut récupérer les biens transférés que dans des cas limités et exceptionnels dans la pratique (révocation pour non-respect des frais, révocation par ingratitude et révocation pour l’apparition d’un enfant par un parent non donateur) .Article 894 C. civ. : « Le don inter vifs est un acte par lequel le donateur est maintenant et irrévocablement du don d’usage dépouillé de la chose donnée, en faveur du donataire qui l’accepte. » Les dons doivent être distingués qui constituent des dons modestes en ce qui concerne le patrimoine de la personne qui transmet, diffusée exclusivement lors d’un événement spécifique (anniversaire, mariage…). Contrairement aux dons, les dons habituels ne sont pas pris en compte dans l’héritage du présent et ne sont pas soumis à l’impôt.

Article 852, paragraphe 2, C. civ. : « La nature actuelle de l’utilisation est évaluée à la date à laquelle elle a été consentie et compte tenu des biens de la personne qui a fait la cession »

Les dons devraient également être différenciés du prêt familial consenti contre rémunération et qui nécessite une restitution ou un remboursement.

Il existe plusieurs types de dons.

dons simples

Tout acte constitutif d’un don entre vifs est obligatoire notarié , sous peine de nullité (art. 931 C. civ.).

Les dons sont légalement considérés comme des actes « graves » dans la mesure où le donateur transfère irrévocablement une partie de ses biens à des tiers sans toute contrepartie (sauf dans le cas d’un don avec frais). L’utilisation de l’acte authentique garantit le consentement et l’acceptation appropriés de toutes les parties.

Si le don concerne le logement familial du donateur marié, votre conjoint doit participer à l’acte et accepter le don.

La loi peut contenir des clauses coutumières , telles que l’obligation d’utiliser des fonds pour l’acquisition d’une résidence principale ou d’un investissement financier spécifique, ou contenir une réserve de jouissance au profit du donateur.

Un don simple est opportun pour aider dans votre projet ponctuellement un enfant, petits-enfants ou pour bénéficier délibérément à un enfant, le consentant de participation au capital comme nous le verrons.

dons d’argent et dons manuels

Le don manuel, non prévu par le Code civil et contraire au formalisme imposé par l’article 931, a toujours été validé par la jurisprudence et la doctrine.

Le don manuel se caractérise par la livraison de matériel (légalement appelé « tradition ») sans tenir compte de la propriété au donateur. Le don manuel ne peut donc concerner que des biens légalement qualifiés comme « meubles » (argent, valeurs mobilières, objets).

L’ avantage du don manuel est sa simplicité apparente en raison de son manque de formalisme.

Corrélée, la preuve de l’existence d’un don manuel est une réelle difficulté. La charge de la preuve incombe en principe à la personne qui fait usage de son existence.

Comment faire un don d’argent ?

Il est courant de donner une somme d’argent pour aider un être cher. Ce don est un manuel de don qui ne nécessite donc pas d’acte de notaire. Cependant, il est nécessaire de faire votre déclaration de revenus.

En outre, le don manuel doit être déclaré par le donateur aux autorités fiscales via le formulaire CERFA No 2735 . Autrement, le don manuel pourrait être imposé à titre de rappel fiscal, sur un don notarié subséquent ou sur le décès du donneur. Afin d’optimiser l’utilisation des subventions, il est conseillé de déclarer immédiatement le don.

Le don manuel doit être utilisé avec une bonne intelligence, afin de ne pas créer de déséquilibre entre les enfants et d’éviter de futurs litiges immobiliers.

dons et transgénérationnels

La particularité du partage des dons est de faire un partage précoce de la succession des donateurs , en plus des dons

Les dons et actions sont accordés exclusivement aux héritiers présumés , sous réserve des exceptions limitatives suivantes :

  • dons transgénérationnels qui permettent de récompenser les enfants et petits-enfants du ou des donneurs (art. 1075-1 C. civ.)
  • dons partagés conjonctifs qui permettent aux enfants de lits différents d’être intégrés à l’opération.
  • dons et actions concernant une société à des tiers sous réserve de conditions (art. 1075-2 C. civ.).

Les dons présentent un avantage important : on dit qu’ils ne sont pas déclarables aux avoirs du donateur et que la valeur des avoirs transmis est gelée le jour du partage des dons. Ainsi, les gains ou pertes réalisés par les donataires ne sont pas pris en compte dans le calcul des parts immobilières, comme nous le verrons ci-dessous.

En principe, tous les enfants donateurs doivent intervenir dans l’acte de partage des dons et recevoir beaucoup . Toutefois, il ne s’agit pas d’une condition de validité de l’acte. Ainsi, en présence d’une situation familiale conflictuelle, un enfant peut refuser d’intervenir dans le don. Le partage des dons serait alors valide, mais les effets juridiques du partage des dons, en particulier le gel des titres le jour du don, seraient inapplicables.

Il est donc nécessaire d’obtenir l’intervention de toutes les parties afin d’assurer la pleine efficacité juridique de l’acte.

En associant tous les enfants à la réflexion sur le partage précoce de la succession future, le partage des dons permet ainsi une transmission anticipée sereine d’une partie de leurs biens avec une distribution de biens par les enfants.

Dons avec réservation d’usufruit :

don d’une propriété avec une réservation d’usufruit au donateur permet au donateur de conserver sa jouissance Le (occuper la propriété, collecter des loyers, par exemple, dans le cas de l’immobilier). En retour, il devra prendre le fardeau.

L’ usufruit réservé par le donneur est évalué par le Code Général des Impôts (art. 669 CGI) en fonction de l’âge de l’usufruit le jour du don . Cette évaluation dépend de l’espérance de vie usufruit estimé : plus l’usufruit est vieux, la valeur inférieure de son usufruit.

Le calcul des droits de don ne sera pas basé sur la valeur du bien complet, mais sur la valeur de la propriété nue (c’est-à-dire la valeur du bien entier décodée de la valeur usufruit).

De plus, après le décès du donneur bénéficiant du donateur, le donneur devient propriétaire à part entière. L’extinction de l’usufruit ne donne lieu à aucune imposition (article 1133 du Code général des impôts).

Exemple

M. Marin, 56 ans, a un enfant unique. Il souhaite vous envoyer un appartement au bord de la mer qui vous servira de deuxième maison. Cet appartement vaut 200 000€.

En lui donnant seulement la propriété, M. Marin peut continuer à utiliser l’appartement. Après la mort de M. Marin, votre fils deviendra propriétaire à part entière. Ils peuvent occuper l’appartement ou décider de le louer ou de le vendre.

Compte tenu de l’âge de Monsieur Marin le jour du don, la valeur de son usufruit est de 50%, donc la valeur de la propriété nue de 50%, soit 100.000€.

En application de la réduction de la common law, aucun droit de don ne sera tel que nous le verrons ci-dessous.

Le montant de l’usufruit réservé par M. Marin ne sera jamais imposé.

Si le bien donné est vendu, la réserve d’usufruit fait référence à un montant en espèces. L’usufruit détient alors un usufruit presque au-dessus du prix de vente, sauf qu’il est réutilisé dans un nouvel actif démembré.

la particularité d’un don à un héritier

Lorsque vous donnez à une personne qui est également votre héritier, le don peut être soumis à deux traitements spécifiques :

relation civile et succession : égalité entre héritiers

En principe, un don en faveur d’un héritier est dit à propos d’un quota de succession.

Ainsi, le don profité de l’héritier ne dépasse pas sa participation à la propriété, mais est inclus dans cette partie.

Cela vaut pour les dons simples et manuels lorsqu’ils sont accordés à des héritiers présumés, sauf indication contraire.

Pour assurer l’équité entre les héritiers, les dons faits à la propriété au décès du donateur sont ajoutés responsables. Nous parlons de la relation avec la propriété .

Les biens donnés sont déclarés à leur valeur le jour de la division de la propriété (et non le présent) et selon l’état de la propriété le jour du don. En ce sens, tout gain en capital ou moins doit être pris en compte (sauf ceux qui seraient dus à la part du donateur: travaux d’amélioration…).

Pour les dons de sommes d’argent, la valeur donnée sans réévaluation est prise en compte. Si ce montant a été réinvesti dans un bien, la valeur du bien est conservée le jour de la division successorale.

Est-il possible bénéficier d’un héritier précisant que la donation est faite en dehors de l’héritage ou exemptée du rapport (dans la limite du quota disponible en présence d’héritiers qui réservent comme nous verrons).

Dans ce cas, un tel don va au-delà de votre participation à l’héritage. Ce n’est pas lié à la propriété.

Les dons manuels, normalement déclarables, peuvent être effectués en dehors de la participation au capital. Dans ce cas, il est accompagné d’un accord privé (pacte suppléant) contenant une clause relative à l’absence de relation de don dans la succession du donateur.

Cette écriture nous permet également de prouver l’existence d’un don manuel. D’autre part, il est important de prêter attention à la rédaction de ce texte. En fait, l’accord ne doit pas en soi faire le don, au risque que le don soit annulé par défaut (art. 931 C. civ.).

Le partage des dons est, en principe, considéré comme non déclarable . En outre, elle gèle les valeurs données le jour du don permettant de maintenir une égalité entre les héritiers par rapport aux valeurs futures des biens donnés.

Exemple

M. Marin accorde un don d’argent de 100 000€ à chacun de ses deux fils Alain et Marie.

Au décès de M. Marin, son héritage ne se compose que de sa résidence principale de 200 000 euros. Ses seuls héritiers sont ses deux fils.

En ce qui concerne le traitement des sommes transférées par don aux enfants :

  • Alain a progressivement passé toute la valeur sur le casino
  • Marie a acheté un appartement dont la valeur au jour du décès a doublé (200 000€). Marie a ainsi atteint une valeur ajoutée de 100 000 euros.

Si M. Marin a accordé deux dons simples ou deux dons manuels déclarés, ils doivent être déclarés à l’héritage à son décès pour leur valeur le jour du partage de héritage.

Ainsi, nous ajoutons à la succession une valeur de 200.000€ pour le don fait à Marie (valeur de l’appartement le jour du décès) et 100.000€ pour ce qui a été fait à Alain (pour une somme d’argent sans réinvestissement, évaluation au jour du don). Le bien total s’élève à 500.000€ (200.000€ de bien existant dans le patrimoine de Monsieur Marin, 200.000€ pour le don Maria et 100.000€ de don d’Alain).

Les enfants ont droit à la moitié chacun, soit 250 000 euros.

Le don fait en leur faveur est attribué à l’héritage de chaque individu, puisqu’il a été fait dans une partie de la succession.

Participation de Marie : 250.000€ — Valeur du don imputé à la participation au capital : — 200.000€ héritage de Marie sur la propriété existante pour l’héritage : 50.000€

Participation d’Alain : 250.000€ — Valeur du don imputé à l’action de succession : — 100 000€ Une partie de l’héritage d’Alain sur le bien existant à héritage : 150.000€

La richesse de l’héritier est respectée dans le domaine mondial de 500 000€, mais Alain bénéficie du bon investissement de Marie, puisqu’elle reçoit 100 000€ de plus que sa sœur sur la valeur des actifs de l’immeuble.

Si M. Marin avait fait un don à ses deux enfants, la situation serait complètement différente. Le partage des dons n’est pas déclarable à la propriété et gèle les montants le jour du don.

La masse totale de la propriété est alors de 200 000€ que les deux enfants partagent en moitié, soit 100 000€ chacun.

Ils ont également reçu 100 000 euros chacun lors du partage des dons. Ce partage des dons n’est pas déclaré à l’héritage pour le calcul de l’héritage et les montants sont, dans tous les cas, fixés à ceux des dons, soit 100 000 euros chacun.

le risque de réduction : quelles sont les limites de la liberté de transmission ?

Certains héritiers ont droit à une tranche minimale des biens du défunt : les enfants et les conjoints en l’absence d’un enfant. Ils sont appelés héritiers à réserver .

La partie incompressible à laquelle ces héritiers ont droit est appelée réserve héréditaire.

Le reste du patrimoine est le quotidien disponible . Le donneur est libre d’en disposer comme il le souhaite. Il peut donner l’équivalent du quotidien disponible à un non-héritier, à un héritier non réservé ou à un héritier réservé à lui en plus de son quota de réserve pour une donation sans capitaux propres.

En présence d’un enfant, les actions réservées et les activités quotidiennes disponibles sont les suivantes :

enfant

En présence de : Réserve héréditaire quotidienne régulière disponible
1 1/2 1/2
2 enfants 2/3 (c.-à-d. 1/3 par enfant) 1/3
3 enfants et 3/4 de plus (ce que les enfants partagent) 1/4

En l’absence d’un enfant, le conjoint est réservé pour ¼ de la propriété.

Lors du calcul du montant de la part de réserve, nous prenons en compte la masse des avoirs le jour du décès , mais aussi les dons que le donateur a pu faire au cours de sa vie , afin de reconstruire le patrimoine mondial du défunt.

La valeur du bien pris en compte est la valeur du jour de succession en fonction de son statut jusqu’au jour du don (art. 922 Civ. Code).

Si les actifs existants au moment du décès sont insuffisants pour garantir la réserve , les diverses dispositions que le défunt a pu prendre gratuitement peuvent être réduites à la demande des héritiers qu’ils réservent. Nous parlons de réduire l’action .

Les legs (dispositions dues à la mort, volonté) sont d’abord réduits, puis les dons du plus récent au plus ancien.

comment transmettre vos actifs à moindre coût ?

Tous les dons et dons sont soumis à des frais de transfert gratuits. Les droits sont calculés en fonction de la valeur des biens reçus par chaque donateur par chaque donateur.

Le partage des dons est également soumis à des droits de don, et le droit de partager (2,5 %) ne s’applique pas (le droit d’action s’appliquerait éventuellement si le partage avait lieu ultérieurement dans un acte distinct).

Cependant, il est possible d’optimiser l’imposition des dons.

quel montant peut -on donner sans impôt ?

Dons faits en le montant de l’allocation applicable est exonéré d’impôt.

Don au profit des enfants

La réduction du droit commun de 100 000 euros par parent et par enfant est renouvelable tous les 15 ans. Donner dès que possible pour renouveler l’exemption jusqu’à concurrence de subventions :

Cette allocation est la même que pour les transmissions de succession.

Ainsi, si la subvention a été entièrement utilisée dans le cadre d’un don et si le donateur décède moins de 15 ans après le don, les avoirs transférés par succession au donateur ne bénéficieront pas de la réduction de la common law (qui sera complètement épuisée).

Une bonne stratégie pour le patrimoine dépendra donc d’une bonne anticipation.

La subvention pour les dons d’un montant de Évitez de donner après 80 ans : 31 865 euros par parent et par enfant est renouvelable tous les 15 ans, sous réserve de conditions : don d’un montant en l’argent en pleine propriété par un parent âgé de moins de 80 ans au profit d’un enfant adulte.

Nouvelle subvention temporaire et spécifique pour les dons d’un montant total de 100 000€ par société mère (quel que soit le nombre de donataires),non renouvelable  :

S’ applique aux dons en plein argent faits entre le 15 juillet 2020 et le 30 juin 2021 (article 19 du troisième amendement de la loi de finances pour 2020).

Pour pouvoir bénéficier de cette subvention, le donateur doit utiliser les fonds pour financer :

  • la construction de votre résidence principale (et non l’acquisition de votre résidence principale).
  • Travaux énergétiques relatifs à votre résidence principale éligibles à la prime de transition énergétique.
  • la création ou le développement d’une petite entreprise (par la souscription au capital augmentations initiales ou de capital). L’entreprise doit avoir moins de 50 employés, ne pas avoir de bénéfices distribués et avoir un bilan inférieur à 10 millions d’euros. La gestion de l’entreprise doit être exercée pendant trois ans par le donateur.

Ces investissements ne doivent pas avoir bénéficié d’autres avantages fiscaux.

Le montant donné doit être utilisé dans les trois mois suivant le paiement.

Dons aux petits-enfants :

  • Abattement de common law de 31.865 euros par grand-père et petit-fils, renouvelable tous les 15 ans, sans conditions.
  • Allocation de dons d’un montant de 31 865 euros par grand-père et petit-fils, renouvelable tous les 15 ans, sous réserve de conditions : don d’une somme d’argent en pleine propriété par un grand-père de moins de 80 ans au bénéfice d’un petit-fils âgé de moins de 80 ans.
  • Nouvelle allocation temporaire et spécifique pour dons d’ un montant total de 100 000 euros par donateur (quel que soit le nombre de donataires) et donataires non renouvelables accordés en pleine propriété entre le 15 juillet 2020 et le 30 juin 2021, dans les mêmes conditions que celles décrites ci-dessus pour les enfants.

Les dons aux petits-enfants sont imposables dans la mesure où aucune allocation n’est applicable aux transferts de successions aux petits-enfants de leur propre initiative, à l’exclusion de l’allocation de retard de 1,594€ par bénéficiaire.

En outre, une allocation spécifique et personnelle pour les donataires handicapés peut également être ajoutée (159 325 euros, renouvelable tous les 15 ans, sous réserve de conditions).

le barème supplémentaire applicable en sus de l’indemnité

Si le montant transmis par donneur pour chaque donneur dépasse l’allocation, un barème progressif s’applique.

Cette échelle dépend de la relation entre donneur et donateur.

À l’instar des subventions, les prestations sont actuellement renouvelées tous les 15 ans.

Ainsi, en ce qui concerne les dons aux enfants, plus tôt la première transmission par don est accordée, plus les subventions et les échelles du barème peuvent être reconstituées pour un nouveau don ou pour le transfert successif du donateur.

Les dons avec une réserve d’usufruit contribuent également à réduire l’imposition globale, puisque seuls les biens nus sont imposés comme nous l’avons vu. Les dons contribuent ainsi à l’optimisation fiscale de la propriété, permettant d’aider leurs proches tout au long de leur vie. Par comparaison, l’assurance-vie, qui est souvent utilisée pour réduire l’impôt sur les successions, ne permet pas la transmission à vie et n’est pas un aidant naturel immédiat. Les dons sont techniques cela gagnerait à être plus employé.

Les dons constituent un outil d’atout pertinent pour anticiper leur transmission, réduire le coût fiscal, mais aussi à des fins familiales et intergénérationnelles. Cependant, il reste nécessaire de choisir le type de don qui est fait afin que ses effets économiques et civils correspondent aux objectifs souhaités. Le rôle du conseiller en actifs est essentiel ici.